mercredi 2 février 2011

Orwell, un vilain petit canard...



* Cyril Connoly observait : "Orwell était un animal politique. Il ramenait tout à la politique (...). Il ne pouvait pas se moucher sans faire un discours sur les conditions de travail dans l'industrie du mouchoir." Sa seconde femme, sonia Orwell, dont on ne saurait douter qu'elle le connaissait et comprenait bien plus intimement encore, nous assure, tout aussi catégorique, qu'il avait été poussé à l'engagement politique par un accident de l'histoire, alors que sa vrai nature était de vivre à la campagne, en paisible ermite, ne fréquentant que quelques vieux amis; s'il avait pu suivre sa pente, il aurait seulement écrit des romans et cultivé son potager"

Voila qui convient, bien sur, après coup. Personnage complexe.
Mais par quel bout prendre cet assemblage de signes solsticiaux (cancer-gemeaux-sagittaire) et de signes équinoxiaux ( balance-poissons).

Le Cancer protège l'humain simple (soleil-lune) neptune.

Mars, le premier reveille notre bonhomme et le livre nu au monde, sans défense.

Associatif en diable, prêt a courir en Birmanie. Il s'engage en Espagne en lutte contre le fascisme lors d'un transit de mars en Balance. Il y découvre par contraste ce jupiter en Poissons.
Les communistes près a tout pour le pouvoir.

Démagogie, utilisation scientifique du langage comme outil de propagande ( un peu comme sa novlangue de 84). Quoique, la novlangue, l'ultra-paradoxe, du style "la liberté, c'est l'esclavage". C'est bien la domination absolue d'un pôle absorbant son opposé, et la , y'a Uranus en Sagittaire, pour la cérébrabilté déconnecté du concret palpable.
Mercure et pluton en gémeaux, adossés à mars et saturne, pour le réel vécu de la marginalité.

Toujours, hors de son milieu, le bougre, ne faisant jamais parti de...