lundi 15 juin 2020

"Ceux qui viennent du ciel". De James Cameron à Avatar (troisième partie)


Du parasol au bouclier du bronzage
Le Lion, bien qu'estimant occuper toute la place, doit faire avec ses compagnons estivaux, le Cancer et la Vierge. Qu'il puisse y avoir un lien entre notre héros Léonien sur de lui et dominateur et ces "gagne petit"tout en humilité, timidité et craintes précautionneuses. Voila qui étonne et pourtant... Ces trois signes parlent chacun à leur façon de Carapace, de protection et de frontières. Mais le Lion au centre de la saison par un mécanisme qu'on appelle "l'induction positive" va inverser la vapeur. Une image explique cela: prenez les échecs et la mécanique du roque, une fois le roi protégé efficacement, on peut se lancer à l'offensive. La protection du lion c'est lui même. C'est son égo sa potion magique.

"Je est un autre"
Nanti d'une conjonction Soleil-pluton en Lion, James Cameron aurait-il un problème d'identité?
A charge d'incarner ce double niveau de volonté ou la conscience solaire flirte avec l'inconscient Plutonien, l'acteur Sam Worthington est tout trouvé. Lui même est natif du Lion avec une conjonction Soleil-Saturne dans ce même signe. Avec le handicap saturnien d'une image héroïque bien terne et souffreteuse. Il part de loin, le bougre, sur son fauteuil d'handicapé, pris pour un bourrin au Q.I d’huître.
Dire qu'il chevauchera bientôt le seigneur des Banshees... Mais sur de son fait, en bon Lion, il ne craint rien ni personne. Issu d'une hybridation au niveau génétique dans les méandres plutoniens de l'invisible, l'Avatar est une belle image de cette conjonction Soleil-pluton. 
Le pilote d'Avatar est a la fois lui-même et un autre, distant dans l'implication et impliqué dans la distance. Et que dire de ce corps de Nav'i. une illustration de la mécanique du lion, pus besoin de protection dans la base. Le Nav'i est une machine de guerre, il fait au moins trois mètres de haut et ses os sont renforcés naturellement en fibre de carbone, non mais! On est Lion quoi! A suivre...

    

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